La lettre dans son intégrale (PDF) – Payer sa cotisation
Le mot du Président
Changer d’attelage
La voiture est toujours belle, mais les chevaux sont fourbus : il faut changer d’attelage au prochain relais. Mathias Forteau et moi-même avons décidé, pour des raisons personnelles, de ne pas solliciter le renouvellement de nos fonctions respectives de président et de secrétaire général au sein de notre Société. En ce qui me concerne, je considère que huit ans, c’est assez. Depuis que vous m’avez fait l’honneur de me confier la responsabilité de président de la SFDI, l’horizon a changé. Nos instruments de travail ne sont plus les mêmes, de nouveaux réseaux de sociabilité sont apparus, de nouvelles demandes s’expriment à l’adresse de notre société. Je sens qu’il est temps d’imprimer à la Société un nouvel élan. Il faut donc une nouvelle équipe.
Je dirai à Nancy toute ma gratitude aux collègues qui ont constitué, au fil des ans, l’équipe de direction que j’ai eu le plaisir d’animer. Dès aujourd’hui, c’est à tous les sociétaires que je veux adresser un grand merci. Succéder à Suzanne Bastid, à René-Jean Dupuy, à Hubert Thierry, à Jean-Pierre Quéneudec, le défi était imposant. Sans votre contribution à tous, nous ne serions pas arrivés à le relever ensemble.
Pour la période nouvelle qui s’ouvre, j’ai pleine confiance. Notre Société se porte bien. La relève est assurée grâce à la valeur de la nouvelle génération d’internationalistes francophones, comme en témoignent la qualité des thèses soumises à concours pour les prix Suzanne Bastid et Jacques Mourgeon, mais encore les beaux succès des internationalistes aux concours de recrutement des Facultés de droit.
Place maintenant au nouvel attelage que vous mettrez au travail à Nancy.
Jean-Pierre Cot
